
Supposons que le territoire, le paysage, soient aussi sonores. Et ils le sont, pour le meilleur et pour le pire.
Supposons que nous voulions, avec des résidents, des enfants, d’autres, tout d’abord les marcher, les écouter, les apprivoiser.
Supposons que, avec les mêmes personnes, nous voulions en dessiner leurs contours, même mouvants, à l’oreille, les cartographier, en faire, par différents dispositifs et médias, un, ou une série de portraits sensibles, auriculaires…
Il n’y a plus qu’à…