
Parfois, j’ai l’impression que les danseurs marchent et que les marcheurs dansent.
Je crois percevoir que les frontières en mouvement du corps marcheur danseur ambulateur sont ténues, que le paysage écouté s’y prête, que l’arpentage nous mesure au territoire tracé de nos propres pas, que notre corps-oreille se déploie jusqu’à la pointe de nos doigts et pieds…
Sans doute plus qu’une impression…