Points d’ouïe asséchés

Printemps déjà silencieux…

Les cours d’eau et fontaines se taisent précocement.

L’écoute s’assèche en même temps que les flux se tarissent et que les bonnes ondes se font rares…

On traverse hors les gués, les torrent ne coupent plus le chemin et tout ça s’entend bien, ou plutôt ne coule plus de source.

Fin d’hiver déshydratée.

Paysages que guettent les déserts, dévastent les coulées de boue, et que plus rien n’irrigue.

Oreille racornie faute de flots nourriciers.

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