Les cartographies sonores, parfois associées à des cartographie dites sensibles, mentales, sont aujourd’hui rentrées dans des pratiques courantes. Ellles visent à apporter une couche de définition territoriale (supplémentaire) ou un supplément d’informations, le tout visant à construire et à définir un, ou une série de territoires sonores singuliers.
Différentes des cartes de bruits urbains, procédures aujourd’hui imposées par des directives européennes à bon nombre d’agglomérations (http://www.bruit.fr/boite-a-outils-des-acteurs-du-bruit/cartes-de-bruit-et-ppbe/), sont actuellement dressées.
Je laisserai ici de côté ces cartes, certes utiles, mais pour moi un brin trop normatives, pour aborder celles traitant plutôt des notions de paysages sonores, dans leurs approches esthétiques, sensibles, même si une préoccupation écologique n’est pas évacuée pour autant, tant s’en faut.